A prononcer Ouboud (mais à ne pas bouder)!On est resté que 2 jours à Ubud sur l'île de Bali, et on a bien apprécié l'atmosphère un peu bobo-hippie de cette ville. Il y a tout plein de petites boutiques charmantes, des ptits restos colorés, des pâtisseries (encore)... Bon, on y voit plein de gens habillées avec des draps blancs et qui vont certainement faire du yoga, mais c'est quand même sympa. Et on a pas été réveillé par le muesim ! Sur Bali les indonésiens sont en majorité Boudhistes ! On a visité la « monkey forest » : plein de petits singes qui se promènent et vous sautent dessus si vous avez de la nourriture sur vous ! Quand je dis "sur vous" c'est surtout dans les poches et sacs à dos, pas sur le visage ou dans la barbe! Ils ont essayés à plusieurs reprises d'ouvrir nos sacs à dos pour voir s'il y avait pas un petit cadeau pour eux. Mais ils ne sont pas méchant, juste malin comme des singes! Voilà, après un dernier coup de stop pour aller jusqu'à l'aéroport, on quitte déjà ce pays où on serait bien restés plus longtemps. Il y a tellement de choses à voir, tellement d'iles avec chacune leurs spécificités, des randos qu'on a pas pu faire : faudra qu'on revienne !
On aurait pas déjà dit ça d'autres pays ;-) ? Parce que l'idée de retourner sur une île nous chatouillait !Après les Togians, on se dirige vers une autre petite ile : Gili Travagan. Mais beaucoup moins tranquille que la précédente celle là : des touristes et des boutiques partout ! Et dire qu'on est même pas ne haute saison ! Mais on a quand même bien apprécié, on pouvait trouver des endroits relativement calme, on avait un bungalow sympa... mais situé à proximité d'une grosse mosquée ! Et le jeudi on a eu droit à la grosse prière de la semaine : 1h30 de prière retransmise en direct via leur haut parleur grande portée pour être sur que les fidèles et même les infidèles n'en loupent pas une miette. Et pourquoi le jeudi soir ? « parce que c'est la veille du vendredi » s'est on fait répondre...
On était surtout venu là pour que je puisse passer mon niveau 3 SSI d'apnée chez « Freedive Gili ». Pour valider, voici certain des minimums requis :
En attendant il est champion d'Ukraine et a des plongée à -85m à son tableau... Et il a juste des muscles qui n'existent pas (plus?) chez moi... Pendant ce temps là, Adèle qui ne comprend pas pourquoi je m'enquiquine à faire de l'apnée alors qu'on peut respirer sous l'eau avec des bouteilles, est partie faire du Scuba diving ; elle en a profité pour faire des selfies avec des tortues ! On a aussi fait les incontournables photos sur la balançoire dans l'eau, les diner au marché à gouter toutes les pâtisseries possibles (non je n'ai pas de vers solitaires) ! La ville la plus proche des Togians disposant d'un aéroport !Après une nuit de férie, on arrive enfin à Gorontalo. On souhaite prendre le premier avion pour Lombok mais pas de bol : on est pas les seuls à avoir eu cette envie : il n'y a plus de place, il faut attendre demain... Heureusement qu'on s'est renseigné avant d'aller à l'aéroport.
Je décide d'acheter les billets sur le site internet de la compagnie (Lion Air pour ne pas la nommer) : impossible de payer par carte à moins de 48h du départ... Je vais donc voir dans une agence : le tarif que me sort la vendeuse est beaucoup plus cher que celui affiché par le site ! Et en plus ils n'arrêtent pas d'augmenter toutes les 5mn, à chaque fois qu'elle réactualise sa page ! Après maintes réflexions j'ai la lumineuse idée d'essayer d'acheter le billet sur internet mais via un site de revente (type ticket.com): parfait ! Juste le temps d'appuyer sur acheter que mon PC s'éteint car plus de batterie... Car oui, j'ai fait le tour de la ville gratuitement dans le tuktuk d'un Indonésien super sympas qui essayait de m'aider à acheter ce foutu billet ! Mais miracle de l'informatique : le billet a bien été validé ! Après avoir encore tourné pour trouver à cyber café où l'imprimer, je me rend compte qu'il se fait faim ; je comprends pourquoi : il est 12h30 et j'aurais donc passé 4h pour acheter un billet... Comme l'avion est reporté au lendemain, on passe la journée à flâner en ville, à faire le tour des marchés... J'ai voulu prendre un avocado-shake: j'ai demandé à la mixeuse (ou shakeuse?) de ne pas mettre de glaçon, elle y a mis un grand verre d'eau... C'était dégueu, mon idée est tombée à l'eau! Paradis difficilement accessibleC'est un chapelet d'iles (rien à voir avec le collier) qui se situe à l'ouest / nord-ouest de Sulawesi. Et quand on vient de la région Toraja, il faut du temps et de la persévérance pour s'y rendre ! On a mis 2,5 jours pour y arriver : 1 bus, 2 mini bus, 1 fast-boat (on en pouvait plus on voulait pas perdre encore une journée en ferry) ! Et une nuit dans la petite boutique de vente de billets de bateau où Adèle s'est encore une fois battue avec un rat. Le rat avait les yeux plus gros que le bidou : il a essayé de nous piquer un paquet de biscuit, est passé sous la porte mais le paquet était trop gros ! Il tirait comme un âne (ce qui n'est pas commun pour une rat) sur le paquet de gâteau qui butait contre la porte. Adèle, à qui on en vole pas des biscuits comme ça, a chopé le paquet ! Le rat ne comprenant pas ce qui se passait est re-rentré dans la chambre et a trouvé Adèle avec un bâton de rando prêt à l'embrocher ! Il a détalé comme un lapin (là aussi, assez bizarre pour un rat) ! J'aurais fait la même chose si j'avais été l'animal, car une Adèle qui se fait réveiller à 3h du matin : c'est plus un ange ! Après s'être recouché, avoir été de nouveau réveillé vers 4h30 par l'appel à la prière, s'être re-re-couché puis re-re-réveillé, on a enfin pris ce fameux fast-boat ! Et la récompense valait bien toutes ces péripéties : on arrive sur l'île de Kadidiri dans la guest-house Pondok Lestari : eau turquoise, sable blanc, bungalow sommaire mais pieds dans l'eau, café à volonté : what else ? Comme cette ile est isolée (uniquement 3 guest-house de 4 à 5 bungalow chacun, pas de village), on est en pension complète. Au menu : riz/poisson tous les jours (désolé papa, pas de patate ici), et avec du poisson frais pêché par nous même en plus ! On s'y est tellement plu qu'au lieu de 4 jours on sera resté 9 jours ! Ké kon na fé ? De la plongée bouteille dans les coraux et surtout une plongée sur une épave de bombardier américain datant de la seconde guerre mondiale : le B32. C'est là qu'on s'est rendu compte que le B52, avant d'être un shooter (cocktail) c'était surtout un bombardier. On est allé faire trempette dans un lac aux méduses ! Ne vous inquiétez pas elles étaient inoffensive, car même si on aime l'aventure on est pas maso ! En avoir une dans sa main donne l'impression d'avoir un cœur qui bat ! De la chasse sous marine : Il y avait un très bon chasseur Indonésien d'une quarantaine d'année : Aka. Il fabrique ses fusils maison : une planche, deux morceaux de chambre à aire, du fil de nylon, un morceau de bambou, une longue tige métallique et le tour est joué : nous voilà avec un superbe jou-jou : maintenant y Aka aller chasser ! Il m'a emmené sur des spots magnifiques : eau translucide, 30m de visi, des falaises sous marines, des requins pointe noir... Le bonheur ! Et j'ai réussi à ramener une belle carpe rouge d'environ 4kg ! Pourtant c'était mal parti : après avoir tiré sur la bête celle-ci est partie sous un rocher avec la flèche. Quand je suis redescendu récupérer le fusils : plus de poisson au bout de la flèche... Encore une histoire de chasseur malchanceux... Sauf que pendant que je redressait la flèche (doit être taillé dans du fer à béton son truc), j'ai vu la poisson posé sur le sol un peu plus loin. Le temps de recharger, de l'ajuster et paf : cette fois c'est la bonne ! Pas mal comme cadeau d'anniversaire ! Je suis allé passer une journée à pêcher près d'une ile (5h de barque A/R quad même) : magique ! On s'est retrouvé dans un nuage de barracudas ! J'ai pas réussi à en chopper un seul pendant qu'Aka en remontait 3... et j'ai oublié de préciser qu'il pêche sans palmes ! Là j'ai dit « chapeau monsieur » (même s'il avait une casquette) ! C'était tellement bien qu'on a décidé d'y retourner quelques jours plus tard mais avec Adèle et des touristes, à bord d'un plus gros bateau. Sauf que les moteurs étaient les mêmes que pour la petite barcasse. Le voyage a bien duré 8h AR, on est rentré de nuit et on s'est échoué sur un plateau de corail car marée très basse... Mais les fonds étaient quand même top ! Pendant que je chassais et qu'Adèle me surveillait juste au dessus, une raie aigle est venue me survoler, et donc sousvoler Adèle ! En parlant d'anniversaire Adèle avait préparé un gâteau au chocolat qui n'a pas laissé les gens indifférents ! Et pour la photo souvenir j'ai eu droit à un petit shampoing œuf-farine ; j'ai cru me retrouver au bizutage de l'ICAM.
On est pas près d'oublier cette étape où l'on aura pu bien se reposer et faire le plein d'oméga 3 ! Pour retourner sur le « continent » on embarque sur un ferry de nuit. On avait prévu de dormir sur le pont mais un orage en a décidé autrement. Un Indonésien avec qui on voyage nous installe alors dans la partie business où on peut installer nos matelas au sol : on a donc passé la nuit au sec ! Pays des coutumes funérairesVous voulez un électrochoc culturel : allez faire un tour dans le « pays » Toraja ! La région est riche de traditions ancestrales et les gens ont à cœur de les perpétuer et les faire partager ! Pour essayer de comprendre au mieux tout ça on a pris les services d'un guide parlant français pendant 2 jours. Il nous a trimballé dans sa voiture aux 4 coins de la régions pour nous faire découvrir le maximum de choses. Il a aussi été très arrangeant: comme sa prestation n'était pas gratuite, il nous a permis de dormir dans son bureau pendant deux nuits ! Qu'est-ce qu'on a vu ? - Des maisons et greniers à riz traditionnels : en forme de bateau pour symboliser l'arrivé des ancêtres sur l'ile. On avait peur que ces maisons ne soient que parsemées uniquement pour attirer les touristes, mais elles font vraiment parti de la culture locale. Dans les villages toutes les familles ont au moins un grenier à riz de cette forme. Ca donne un sacret caché à la région ! - Une cérémonie funéraire : hallucinant ! Végétariens et membres de l'association Brigitte Bardot n'ont qu'à bien se tenir : c'est une véritable boucherie à ciel ouvert ! Des dizaines de cochons sont sacrifiés d'un coup de couteau dans le cœur, des bœufs sont égorgés sur la place centrale d'un gros coup de machette dans la carotide (« attention chérie, ça va couper »): il y a du sang partout ! Ensuite ils dépècent les animaux dans la foulé pour distribuer la viande à tous les invités ! Les gamins eux en profitent pour récupérer les sabots de bœufs pour s'en faire des jouets : comme quoi on a pas besoin de grand chose pour s'amuser ! On proposera l'idée à « Toys'R Us ». Les cornes des buffles sont récupérées pour ensuite être exposée devant la maison traditionnelle. Et plus les gens sont important et riches plus il y a d'animaux sacrifiés ! Il faut savoir que c'est la cérémonie la plus importante dans la vie d'une personne ; dommage que celle-ci ne puisse pas en profiter... Lorsqu'une personne décède, la famille se cotise pour payer des funérailles. Mais cela peut prendre plusieurs mois voir plusieurs années le temps d'avoir suffisamment d'argent. En attendant le corps est momifié à gros coups de seringues de formoles, et on ne considère pas qu'il est mort, il est juste malade. Donc il faut le nourrir et ils lui apportent à manger tous les jours ! Quand la famille considère qu'elle a suffisamment d'argent, elle prépare les funérailles en montant des baraquements en bois. Ils doivent acheter des bœufs pour les sacrifices et ceux-ci peuvent couter une fortune ! Les plus recherchés sont les albinos aux yeux bleus : ça peut couter plus de 20000 $ !!! La cérémonie dure plusieurs jours, des centaines de personnes viennent « exprimer leur condoléances » à la famille, et la famille les accueille en leur servant thé, café, petits gâteaux, riz & viande : pas de tout repos. - Des caveaux dans la roche : des trous sont creusés directement dans des parois ou même d'énormes rochers, à l'ancienne : tout au marteau et au burin, pas de marteau piqueur ! Il y a aussi des poupées qui y sont disposées et qui représentent les morts ! - Un arbre à bébé : (coutume interdite depuis environ 50 ans). Ils creusaient des trous dans des arbres et y installaient la dépouille du bébé. Ils recouvraient ensuite l'entrée de feuilles de palmier et après quelques année l'écorce de l'arbre rebouchait le trou - Le marché aux animaux (1x tous les 6 jours): des dizaines de bœufs et de porcs sont exposés et vendus, entre autre pour les cérémonies et les restaurants. On y voit des cochons gras comme des loukoums, des bœufs qui ne passent pas les portes tellement leurs cornes sont énormes ! A côté il y a le "classique" marché aux fruits et légumes qui vaut toujours le coup d'œil. On est aussi allé faire une petite rando de deux jours dans les environs qui sont bien vallonnés. On a planté la tente sur un sommet qui surplombe la ville : la vue était magnifique et on voyait les cultures de riz en Terrace depuis la notre. Par contre planter sa tente sur un sommet n'est pas la meilleur idée de la semaine qu'on ait eu : un orage qui approchait dans la nuit nous a réveillé et on a pas fait les fiers ! Heureusement il est passé juste à côté donc on a pas fini grillé comme deux merguez dans leur emballage ! La deuxième journée a été... humide ! Le midi on s'est abrité chez une famille qui nous a invité à manger : super cool ! Et l'objectif du soir était de réussir à aller dormir dans une maison traditionnelle. Après 2 tentatives infructueuses, la 3ème aura été la bonne ! Et en plus on était juste à côté d'une belle cascade ! Par contre la nuit a été animée : Adèle a fait la chasse au rat ! Et pas un petit et mignon comme dans ratatouille : un énorme qui essayait de piquer nos victuailles ! Et Adèle, bien armée de son bâton de rando, a remporté la bataille de l'intimidation ! Le lendemain, après une bonne et revigorante baignade sous la cascade, on a continué notre marche. Sauf que juste après le déjeuner il a recommencé à pleuvoir. On a donc décidé de faire du stop pour rentrer en ville et : finger in the nostril! Après 20mn une voiture s'est arrêtée et nous a ramenée en ville ! Niveau dégustation : on a gouté le « papillon » : ça se prononce pareil mais l'ortographe est certainement différente. C'est de la viande cuite dans un morceau de bambou avec des légumes et des épices : faudra qu'on réessaye en France !
Et aussi du pain vert ! Il était pas moisi mais arôme Pandan. Bon on file, on a un ferry à prendre ! MakassarAprès 2 jours de trajets, nous voilà enfin arrivé sur (l'immense) ile de Sulawesi, à Makassar ! Et youpi, pour la première fois du voyage on va faire du couchsurfing ! Décryptage pour les anciens : littéralement ça se traduit par « surfer de canapé » (oui, ça veut pas trop dire grand chose), et le principe est le suivant : via le site couchsurfing on demande à des personnes si elles peuvent nous héberger gratuitement pour un certain nombre de nuits et ces personnes répondent suivant leur disponibilité et la confiance qu'ils vous accordent en lisant votre profil affiché sur le site. On a donc passé 4 jours chez Darul (+ sa maman et l'assistante de sa maman malade); un jeune Indonésien étudiant en médecine : un chouette type ! Il s'est plié en 4 (il est souple non?) pour qu'on se sente à l'aise et nous rendre service, il nous a baladé en ville et nous a fait découvrir les spécialités culinaires locales, notamment la soupe de bœuf dans laquelle on rajoute un jaune d'œuf cru : delicious ! Et aussi les fameuses bananes frites, recouvertes de fromage fondu et de chocolat en poudre ! Association originale mais pas mal ! En échange on a cuisiné des galettes de riz et : une MOUSSE AU CHOCOLAT (Recette facile et qui ne nécessite pas de four)! Il a voulu qu'on lui écrive la recette et il l'a essayé une semaine après ! On a visité « Fort Rotterdam » qui a été construit par les Hollandais comme le suggère le nom. Et la forme vue du ciel est celle d'une tortue qui avance vers la mer ; pas mal non ? Il nous a même inscrit à une rando organisée par une de ses amies qui tient un club ! Touchante initiative ! Sauf que tout ne s'est pas déroulé comme on le pensait... On nous avait expliqué qu'on irait randonner 2 jours à environ 10 personnes, qu'il fallait 2h de route pour rejoindre le trek, qu'on quittait la ville à 14h et qu'il fallait 2 à 3h de marche pour rejoindre le site de camping ! Dans la réalité : On est effectivement parti vers 14h, on était finalement une bonne vingtaine dont la majorité sur des motos. On a passé notre temps à s'attendre les uns les autres, à aller à la mosquée pour la prière, à s'arrêter pour s'arrêter... On a donc mis 6h pour faire 70km !!! J'étais à la limite de pleurer... On a donc commencé la rando à 21h, de nuit ! Etrange ? Pas pour eux car il semble que c'était le but de cette sortie : faire une rando de nuit. Sauf que la majorité sont des marcheurs du dimanche, enfin le dimanche entre 11h et 11h30... On a donc passé autant de temps à attendre les gens qu'à marcher, ce qui fait qu'on a mis 4h pour atteindre notre but ! La aussi j'ai re-failli pleurer... Et parce que ça n'aurait pas été rigolo : après 10mn de marche on a choppé une grosse averse ! On s'est dépêché de sortir les k-way et pantalons de pluies pour se protéger. La pluie n'a durée que 5mn... Et on était tellement fatigué avec Adèle qu'on a marché le reste de la nuit avec nos vêtements de puis. On aurait dit qu'il pleuvait mais à l'intérieur du k-way ! Après une courte nuit, on descend avec seulement un petit groupe et il nous faudra seulement 2h pour rejoindre la voiture, et 2h de route pour rentrer en centre-ville. Comme quoi les infos n'étaient pas si mauvaises. Conclusion : ici comme en Afrique le temps n'a aucune signification, il ne faut pas être pressé et on s'en rendra encore compte par la suite. Et comme le résume cette belle phrase africaine : «Vous les blancs vous avez la montre, et nous, on a le temps ! ». Tout est dit ! Makassar est une grande ville mais pas d'attraction majeure, et si vous voulez nos conseils éclairés : pas nécessaire d'y passer des lustres ! Il y a tant de choses intéressantes à découvrir sur le reste de l'île !
Le moyen le moins cher qu'on a trouvé pour rallier Sulawesi depuis le Vietnam est de passer par Singapour.
On a pensé qu'on s'était trompé en achetant les billets et qu'on avait plutôt acheté des tickets pour le zoo : les deux compagnies asiatiques qu'on a pris ont des noms grrrrr... très félins : Tiger Air et Lion Air ! A croire aussi qu'il n'ont pas les même superstitions que les occidentaux : première fois qu'on voit une rangé 13 dans l'avion ! "Et Singapour c'était comment ?" On ne sait pas, par contre l'aéroport est au top! On y a passé la nuit, un peu comme deux clochards, mais des clochards de luxe et on a bien dormi. Dommage cependant qu'on ait pas pu passer la nuit du côté transit car là c'est vraiment le paradis pour les voyageurs en attente ! C'est pas pour rien que c'est considéré comme l'un des tous meilleurs aéroports du monde ! |